[Projet] Le glaive de la Lune Noire

Le Glaive de la Lune Noire

Histoire

La création du glaive de la Lune Noire remonte à la guerre des anciens, il y a plus de 10000 ans. A cette époque, la reine des elfes de la nuit, Azshara, fit une alliance avec Sargeras, seigneur de la légion ardente, afin d'éradiquer les êtres impurs de Kalimdor. La capitale, Zin-Azshari, servait alors de quartier général pour la légion, allié aux serviteurs de la reine. Le conseiller Xavius, le capitaine Varo'then, ainsi que Mannoroth dirigeaient la cité d'une poigne ferme et sans remords, éradiquant ceux qui n'étaient pas digne de servir le nouveau royaume.
Au sein même de la cité, un petit groupe de mages Kaldoreis a alors commencé à résister à l'oppression exercé par le nouveau gouvernement de la reine. Passant la majeur partie de leur temps caché, ils se regroupèrent afin de former une petite communauté, ayant pour but de saboter les desseins d'Azshara et de la légion. Ils s'entraînèrent au combat, au maniement du glaive et de la magie, sous une autre forme. Ils apprirent à ne pas céder à la peur et à la suprématie de la légion. Leurs actes étaient souvent effectués subtilement, par des sabotages, des assassinats, ou des attentats, toujours dans la capitale. C'est ainsi que fut né le glaive de le Lune Noire, en référence à leur capacité à agir dans l'ombre, et à manier le glaive avec zèle. Beaucoup de citoyens ont rejoint le glaive, mais beaucoup ont aussi succombé sous le joug de la légion.
Après la guerre et après la grande fracture, les survivants du glaive furent mal accueillies par leur confrères Kaldoreis, dirigé par Jarod Chantelombre, qui avaient renverser la reine et renvoyés la légion dans le néant. Les membres du glaive étaient vu comme des mages sombres, indignes de rejoindre la nouvelle civilisation Kaldorei, qui avait maintenant fait le serment de ne plus utiliser la magie. Devant l'animosité de leurs confrères elfe de la nuit, certains ont choisit de rejoindre Dath'remar Haut-Soleil et de migrer vers les terres de l'Est. D'autres, dirigés par Omki El'saac, ont décidé de rester et de forger un sanctuaire pour leur confrérie dans le Berceau de l'hiver.
Aujourd'hui, le sanctuaire subsiste, bien que les membres du glaive sont réduits. Ils ont gardé leur haine envers la légion et particulièrement envers les nathrezims, qu'ils considèrent comme les marionnettistes de celle-ci. On retrouve leurs traces dans tous les conflits contre la légion ardente, bien que personne ne saurait dire qui et comment. Ils se sont ouverts à toutes les races et à tous ceux....qui partagent leurs ambitions.

Principe

Le glaive de le Lune Noire est un sanctuaire qui forme ceux qui ont la motivation et qui sont dignes, aux arts de combats Kaldoreis. Ces techniques sont très variables et reflètent celles utilisées lors de la guerre des anciens par le glaive. Cela va du maniement du glaive et d'autres armes, du combat à main nues, au combat aveugle, à la magie, plus ou moins sombre, allant parfois jusqu'aux techniques employées par les chasseurs de démons. Certains ne pratiquent aucun de ces enseignements et servent le glaive de manière plus intellectuels. La confrérie fait aussi une fixation sur le contrôle de soit même et des émotions, comme la peur, la haine, la douleur. Le sanctuaire pratique aussi des rites et des rituels, aussi bien pures que ténébreux.
Au terme de la formation adéquate, une cérémonie est organisé afin de considérer la personne comme un membre permanent du glaive de la Lune Noire. Le membre est tatoué par une glyphe que possèdent tous les membres de la confrérie. Le membre peut choisir de cacher son appartenance à la confrérie en dissimulant le tatouage. Il est d'ailleurs plutôt conseiller de le faire.
Le but second du glaive est de garder un œil sur l'ensemble d'Azeroth et de traquer les Nathrezims restant, bien souvent camouflés on ne sait ou. Certains s'arrêtent à la formation alors que d'autres vouent leur vie à la traque des seigneurs de l'effroi. Le glaive porte aussi un intérêt particulier aux artefacts qui peuvent alimenter leurs rituels ainsi que leur capacités face aux démons. La confrérie ne se soucis pas des buts personnels des membres. Ceux la sont solitaires, voués à eux mêmes, une fois qu'ils ont terminés leur entrainement. Certains sont mêmes ennemis. Cependant, des réunions sont organisés pour discuter de l'avancement de la confrérie et de la chasse aux Nathrezims et les morts sont honorés.

Comment les rejoindre?

Peu de personnes ont entendus parler du glaive de la Lune Noire. Seul les elfes de la nuit sont réellement au courant de son existence. Pour le reste, on entend des rumeurs, des récits de bardes ou d'aventuriers. On peut également trouver des ouvrages mentionnant l'existence de la confrérie. Beaucoup circulent à côté de membres du glaive sans même savoir qu'ils en font partis.
Il est difficile de contacter un membre. Mais en vérité, c'est comme ça que les membres perçoivent la motivation des individus. Le glaive de la Lune Noire ne ferme ses portes à personne, qu'il soit de l'alliance ou de la horde, même si celui-ci à un passé ne le mettant pas en valeur. L'important reste la motivation et les désirs de l'individus à accomplir sa formation.

Le domaine

Le sanctuaire du glaive de la Lune Noire regorge d'endroits variés, repartis dans le berceau de l'hiver, au delà des plaines enneigées. C'est là que se déroule les activités du glaive.

Le hall du chasseur

Le hall est le bâtiment principal du sanctuaire. Ouvert vers l'extérieur, cette ancienne bâtisse elfique, presque en ruine, contient l'histoire et les trophées du glaive. C'est ici que les recrues déjeunent, se reposent après les longues journées d’entraînement, et lisent les rares et précieux ouvrages de la bibliothèque. Le lieu est orné de glaives en tout genre, d'armes plus ou moins exotiques et surtout des trophées rapportés par les chasseur de démons. Le symbole du glaive, que l'on retrouve aussi tatoué sur chaque membre, est dessiné au dessus de la porte principal.

Cependant le lieu est primordial car c'est dans ce bâtiment que se déroule la cérémonie d'intronisation des nouveaux membres. C'est seulement lors de cette cérémonie que tous les membres se retrouvent réunis tous ensemble.

Le refuge

Le hall n'est que la partie émergente du sanctuaire. Dans le lieu appelé le refuge, des galeries multiples, souterraines, abritent nombres secrets du glaive.

Protégés par des sorts magiques, le refuge est notamment l'endroit ou dorment les recrues. Au milieu de la terre et de l'humidité, les recrues doivent supporter les conditions défavorables de l'endroit, ainsi que les nuisibles telles que les araignées ou les vers qui rôdent dans les cavernes. On y retrouve également des geôles pour les démons et autres créatures, où les membres du glaive peuvent expérimenter. Des salles de rituels sont également présentent, reflétant l'odeur du sang, du feu et de la magie noire parfois...
Au fond de la caverne, les membres du glaive se réunissent de temps en temps dans un endroit appelé « Le cercle »e. On ne sait pas vraiment de quoi on parle dans le Cercle mais cela à un rapport avec les Nathrezims, cela ne fait aucun doute ! Le principe étant que chacun prend la parole tour à tour, face à leurs confrères.

Le lac Kel'Theril

Ce lac abrite les anciennes ruines de Kel'Theril. Des âmes kaldoreis en peines rôdent, hantant le lieu. Si ce fait peut effrayer la plupart des voyageurs, les membres du glaive, eux, perçoivent en ce lieu une opportunité pour s'entraîner. Au milieu du lac glacé, les entraînement au glaive se déroulent, tous les jours, pour les nouvelles recrues. Les esprits font une parfaite cible pour apprendre aux recrues le maniement du glaive.

La caverne de l'angoisse

Bien qu'elle porte un autre nom, les membres du glaive aiment la surnommé ainsi. C'est l'étape la plus éprouvante et importante de l’entraînement. On dit que certains membres mettent des années avant de réussir cette étape. En effet, c'est ici que les recrues viennent affronter leurs peurs et angoissent. On dit que les énergies magiques contenus dans les parois de la caverne arrive à matérialiser les angoisses et peurs des personnes présentes. Certaines sont tellement réalistes que les recrues peuvent ressortir, traumatiser à vie de la caverne.