Les aventures hasardeuse de la compagnie des maraudeurs

Prologue- Le tauren et la lune.

Dans la nuit profonde des Tarides, a l'ombre d'un de ces vieux arbres tout désseché qui ont survécu à toutes les canicules possible et imaginable, de ces cannicules qui décimes les taurens trop vieux ou trop faible... Donc à l'ombre, si on peut parler d'ombre car nous sommes dans une nuit profonde, un tauren était assis paisiblement. Il contemplais un anneau accroché à une chaîne à son cou. La lune fit briller l'or de l'objet. Il sourit. Et une dague lui transpersa la gorge...

Chapitre 1- Les saigneurs de l'anneau.

Plus tôt dans la soirée. La Croisé au crépuscule. Les habitants des environs vont se détendre a la taverne. Ce soir là elle est bondé. Les tonnneau se vide, les insultes commence à fuser, une bagarre éclate. Comme le veut la loi, les vainqueurs de la bagarre sont fautifs. Ce soir ils sont trois. Tout le monde s'accorde sur le fait qu'il se sont bien battus. Ils ne se connaissent pas, mais il ont fait équipe. Pour les badauds ce n'est pas une bagarre d'ivrogne, mais une joute magistrale. Mais les autorités n'en n'ont que faire. Ils sont obligés de passer la nuit dehors.

Nos trois inconnus sont resté ensemble. Ils se sont remémoré leur bataille en cherchant un lieu de bivouac, et le silence est tombé avec la nuit. Un calme paisible règne prêt du campement, sous les branchage d'un viel arbre. Le tauren s'ennui. Soorf Trembleterre est plus grand que ces congénères d'au moins une tête. Son pelage brun lui donne une allure fière, et les deux épées à une main ainsi qu'une énorme masse à deux mains qui sont accroché dans son dos lui donne une allure ... intimidante. Soorf s'ennui donc. Et ses compagnons d'infortune ne sont guerre intéressant. Un réprouvée, Marius, aussi mince que grand, le crâne rasé, des lunettes d'ingénieur noir, un masque noir lui couvrant le bas du visage, une ceinture pleine de dague, bref un gothique mais en pire. Il ne dit rien et s'ammuse à crammer des bouts de bois. Le troisième est un troll, Raggaz. Il s'est perché dans l'arbre et est entrain d'huilé sont fusils, tout en racontant des histoires drôles à son singe. Soorf ne sais pas ce qui est pire entre l'humour de merde du chasseur ou le rire de son singe. Et l'autre qui crame des brindilles. Enfaites, Soorf ne s'ennui pas, il s'emmerde. Et c'est là qu'il le vit ! Un autre tauren, sous un autre arbre, à même pas 100 mètres ! "Les gars, y à un tauren là-bas, on peut peut-être allé à sa rencontre ?". À ces mots Raggaz saute de son arbre, fusil encore démonté, suivi de son singe qu'il n'a pas encore présenté. "Grave il à p'tetre de la bouffe !" dit il en remmontant son fusil. Marius se leva en grommelant, et tout trois se mire en route. Il avait parcourrue la moitié de la distance qui les sépparait du taurens, soit 50 mètres, quand une ombre surgit d'un buisson, égorgea le taurenm arracha une chaîne de son coup et partis en courant.

Marius songea "Un objet pour lequel on tue à forcément de la valeur", Soorf pensa " Putain c'est pas vrai !" et Raggaz ce mit à courrir après l'assassin. Après une dizaine de mètre il s'arrêta. "Pourquoi t'a courru ?" demanda Marcus, "Je sais pas, je pensais qu'on allais lui courrir après pour le poutrer et récupérer le bibelot.". Marcus se mit à courrir, Soorf le suivi et Raggaz les regardas d'un air hébahi : "C'est quoi le truc là ?"

Cette nuit dans les Tarides, un assassin courrait on ne sait où, un mort-vivant et un tauren lui courrait après, et un troll courrait après le mort-vivant et le tauren.

Chapitre 2 - Le Cas Bestan

Autour d'une table dans une sombre cave, trois gobelins jouais à un étrange jeux de paris qui se jouait avec un pistolet et une seule balle dans le barillet. La partie menai bon train, deux joueur avait déjà arrêter le jeux et gisait dans un coin de la pièce. "Je mise ma dernière bouteille de d'alcool de prunes de Khezan" lança un des joueurs en tirant sur un cigare plus grand que son nez "Cela vous convient ? ". "Et comment ! " dit un gobelin à la robe bleu " je vendrais ma mère pour boire une dernière fois un verre de ce brevage !". Le troisième gobelin qui avait le bout du nez anormalement rouge s'esclaffa "Enfin Vill' , on a tous qu'une mère !". Le denommé Vill, de son vrai nom Villyx, répondit sèchement " Peut être, mais pour 8 000 pièces d'or ça valait le coup de la vendre, en plus elle me tapait sur le système. Ce marchamd d'esclave fut une bénédiction.". "Bref ,repris le premier gobelin, nous avons donc en jeu une bouteille, une montre et une boussole.". Il fit tourner la barillet : "C'est peu. Bon Vill' à toi l'honneur." "Je parie sur notre alcoolique du soir" répondit t'il. "D'accord, donc Vill' mise sur Gaffoux, et Gaffoux sur moi.". Il éteignit sont cigare et approcha le pistolet de sa tempe. Une détonnation éclata et le dénommé Gaffoux fut aspergé d'une cervelle encore chaude. "J'ai gagné !" cria t'il en s'enparant du cigare. "Une très belle partie, je n'ai triché qu'une fois. Bah Vill' fait pas c'te tête" "Tu veut pas me rendre ma boussole ?". Gaffoux hésita : "Tiens reprend la, saleté de mago". Il se dirigea vers la sortie en sifflotant "Quinze ans que je joue, j'ai jamais perdu !".

Cabestan connaissait une nuit relativement fraiche, et qui plus est paisible. Villyx huma l'air un grand coup. Son alcool de prune n'était pas pour ce soir. Tant pis, il tricherai la prochaine fois. Sauf qu'il y avait de moins en moins de joueur. Il donna un coup de pied n'égligeant dans une vielle fiole qui trainait là. À ce moment une troupe assez hétéroclite entra dans la ville en courant. À trois heures du matin, c'était un jogging particulier.

Soorf en avait plein les sabots. Ils avaient courru toute la nuit. "T'est sur qu'il est ici ?". Marius hocha la tête " Un assassin dans les Tarides passes forcément à Cabestant". "C'est quoi un bestant " demanda Raggaz, visiblement très fier de sa blague. Le singe sur son épaule applaudi tandis que Soorf décida de continué plutôt qu'entendre une nouvelle blague de merde du troll. Ce dernier les avaient toutes compté et retenue. C'était la 63ième. "Bon jsuis crevé, faut que je dorme. L'autre va pas quitter ce bled avant demain.". "Vous cherchez quelqu'un ?". La question vennait d'un gobelin plus barraqué que grand, en tenue de mage. "Je suis Villyx, et vous vous êtes perdu. Je peut vous aider ?". Raggaz attrapa un morceau de cervelle sur l'épaule du gobelin et l'avala sans ménagement. "Un assassin" répondit brièvement Marius. "Ta gueule !" lui dit Soorf " C'est un gobelin, il voudra sa part du butin !". Réalisant trop tard son erreur, Soorf fit comme si de rien n'était. Marius se dit qu'un jour il ferait une thèse sur l'intelligence moyenne des taurens, Villyx était aux anges, et Raggaz avait trouvé un autre morceau de cervelle dans les plis de la robe du mage.

"Bon on répète une dernière fois" dit Villyx. Ils étaient tous les quatres dans la taverne de Cabestan, une chope à la main, Raiffort compris. Raiffort était le nom du singe de Raggaz. Villyx n'avait eu aucun mal à s'intégrer, à mettre au point un plan pour attraper le voleur assassin, et même pour ce tiré seul avec le butin."Raggaz tu commence","Je visualise la cible, mais je comprend pas pourquoi nous faut une scie bleu". Raiffort s'esclaffa. "Moi je l'approche furtivement pour lui coupé toute retraite" continua Marius, "Et moi je la charge" maugréa Soorf, qui cachais bien son plaisir. "Exactement ! " rugis Villyx en montant sur la table, "C'est simple et diabolique, les autres plans possibles c'est de la merde !". Seul Soorf semblait prendre en compte le commentaire du gobelin. Raggaz se faisait faire les poux par Raiffort, et Marius répondi tout bas "N'empêches qu'avec une embuscade ...". "Les embuscade c'est de la merde. Je peut même pas entendre ce mot !", Villyx se rassis et repris calmement en lanssant des regards noir à Marius qui ne cessait de grommeler des insultes mettant en relation la mère de Villyx et le postier de Cabestan. "Donc, repris Villyx, une fois la cible prit au piège j'arrive avec le troll et je ..." il attrapa la meule de fromage que venait de commander Raggaz et la jeta à la tête de Marius quand il entendit le mot "castrat". "Donc j'arrive avec Raggaz, je nous téléporte en dehors de la ville, on le poutre et on revient à Cabestan avec ceci ! ". Il brandit fièrement une pierre de foyer. "Marius vennait de réussir à se relever, la face encore applati : "Depuis quand une pierre de foyer est collective ?". Villyx hésita. Enfait se mort-vivant avait beau être un bouffon, c'était un bouffon un peu trop visible. "Tu oublis que je suis mage",répondit il précipittement, "et un ingénieux gobelin. Cette pierre est collective.". Soorf, qui semblait être le plus facil à embobinner, depuis que le plan était de taper, mis à part Raggaz qui ne semblait rien du tout demanda : "Mais pourquoi quitter Cabestan ?". Villyx répondi : "Les autorité ne nous laisseraient pas tuer quiconque dans la ville?". "Et pourquoi revenir à Cabestan ?", la question vennait de Marius. Villyx saisit fortement un saucisson très sec, puis une idée de génie lui traversa l'esprit : "Je suis un mage un peu ... trop puissant. Si je voulais me téléporter à l'autre bout de la pièce, j'arriverais dans le port. Au bien sur je prévois toujours en conséquence, mais on ne sais jamais. Immaginez où pourrions attérir si je voulais juste sortir de la ville.". Un frisson parcourrue nos aventuriers.

"Bien, réglons nos consomations et mettons nous en chasse !", Villyx se leva et fit mine de s'être fait volé sa bourse, un vieux truc pour se faire payer. "Toi t'es un con, et je te le dit sans sommation". Villyx se retourna : Raggaz était debout, les poings fermer. Marius s'était volatiliser et Soorf passait la main dans le dos pour choisir entre épées ou masse. "Ce soir, va yavoir de la Casse Bestant." Villyx eu le temps de murmurer "Oh non !"